Alain Michon
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C.V alain michon
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Sob o meu, o nosso peso
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Retour [Projets 2013 2014] ---- suite [escola] suite [machine à tisser] Suite [essai texte Veridiana] Suite [Interview DEDE] Suite [Interview Celina ô Avõ] suite [Dobrado Dois Corações] ---- [note d'intention|./files/Sobomeu_onossopeso/textes/note_d_intention_sonsV6.pdf] [NOTA DE INTENÇÃO|./files/Sobomeu_onossopeso/textes/nota-de-intencao.pdf] ---- '''Création São Paulo''' '''Sob o meu, o nosso peso - Memória na Vila Maria Zélia''' ---- {small}Sob o meu, o nosso peso - memória na Vila Maria Zélia é um projeto de residência coreográfica que dá continuidade à pesquisa sobre a improvisação abordada como produto cênico, forma de composição com a qual Zélia Monteiro trabalha há mais de 20 anos. As ruínas da Escola de Meninas, que faz parte da Vila Maria Zélia - vila operária idealizada e construída pelos bisavós da artista - foi escolhida por ser um ambiente habitado por um passado ligado à sua história pessoal e também à história da cidade de São Paulo. Memórias individuais e coletivas ali se reúnem e se atravessam e aprofundam questões sobre o corpo como espaço de memória. O tempo presente e passado é o suporte para a criação. O corpo, portador do que permanece na realidade do presente, resgata e revela no gesto a memória contida nas ruínas. Reinaugura sentidos. Mantém vivo o fluxo do vivido.“Olhar as ruínas... o que um dia foi a realização de um projeto de vida de meus bisavós. Olhar as fotos de família que se apagam... Tudo se transformou em rastros, que eu, terceira geração, testemunho.{/small} ---- --> [./files/Sobomeu_onossopeso/images/FLYER__arte.jpg] [./files/Sobomeu_onossopeso/sons/extrait-voix-imprro-35s.mp3|autoplay] !!! Sous le mien, notre poids - Memoire de la Vila Maria Zélia. {small}Sous le mien, nôtre poids – mémoires de la Vila Maria Zélia. C’est un projet de résidence chorégraphique au travers duquel Zélia Monteiro poursuit sa recherche sur l’improvisation, pour elle, l'improvisation est un acte de composition qu'elle travaille depuis plus de 20 ans. Les ruines de L’École des Filles font partie de la ''Vila Maria Zélia'' (ville ouvrière idéale de 3000 ouvriers, réalisée par les arrière grands-parents de l’artiste), elles ont été choisi parce que ce lieu est habité par un passé que Zelia relie à son histoire personnelle et, aussi, à l’histoire de la ville de São Paulo. Dans ce lieu, les mémoires individuelles et collectives se réunissent et se croisent et posent la question du corps comme un espace de mémoire. Le temps présent et passé est le support de la création. Le corps, porteur de ce qui reste, dévoile par le geste, la mémoire imprégnées dans les ruines, par le flux du mouvement, il maintien le lieu en vie.“Regarder les ruines... ce qui un jour a été la réalisation du projet de vie de mes arrières grands-parents ; regarder les photos de famille qui s’effacent... Tout s’est transformé; ces traces que je souhaite réinvestir par ma danse. Je ne m’en souviens de rien; j’imagine à partir de résidus, des bribes dessinent une carte dont émergent ce qui, un jour, ont été des idées, des moyens de production, du travail, de la richesse, une morale, de l'enfance, des écoles, une façon de vivre, des idéaux... Je regarde... Je constate que un par un, idéal par idéal, geste par geste ce qui a été créé et investi dans ce lieu est en train de se détruire. S'extraire; Non par le temps, ce qui par la force de la gravité agit sur le monde, mais par une autre force (gravitationnelle?..) que nous, en tant que société, finissons par exercer sur nos propres créations. Où ont-ils commis l'erreur?.. Où, sommes nous trompés?.. Autrefois?... Je ne m’en souviens de rien. Et maintenant?.. L'esprit du lieu pleure. L’espace est ma référence, comme ma peau. Je déplace l’objet de mon investigation vers le flux. Flux vivant dans cet espace. Les désirs et les rêves, imprégnés d’histoires et d’images pourront-ils être des libérateurs de la poésie aujourd'hui?.. Des champs construits par la mémoire et l’imagination amèneront-ils à la libre expérience du lieux pour qu'il se renouvelle. Pour l’imagination il n’y a pas de temps. Il n’y a pas de passé et de futur non plus. C’est le flux : une autre temporalité.Zélia Monteiro. En ouvrant le cœur du lieu....{/small} ----
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